🛋️ Quand consulter un.e psychologue ?

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  • Dernière modification de la publication :10 octobre 2025
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Il n’y a pas de bon moment. Il y a le moment où on sent que ça devient nécessaire.

On ne consulte pas un psychologue parce qu’on est « fou ». On consulte parce qu’on est en prise avec une souffrance, une impasse, une répétition malsaine qui résiste. On consulte aussi parce qu’on sent que quelque chose ne va plus, ou ne va pas suffisamment bien., parce qu’on est fatigué·e de tout, de faire semblant, de ne pas savoir où aller dans sa vie… et parce qu’on veut comprendre, transformer, résoudre ou simplement être entendu·e.

🌿 Ce qui amène à consulter

Il y a des signes qui ne trompent pas :

  • Une fatigue persistante, qui ne passe pas avec le repos.
  • Une perte de sens, dans le travail, les relations, la vie en gĂ©nĂ©ral.
  • Des Ă©motions envahissantes : tristesse, colère, anxiĂ©tĂ©, honte…
  • Des pensĂ©es qui tournent en boucle, qui empĂŞchent de dormir, de respirer.
  • Des Ă©vĂ©nements de vie qui bouleversent : deuil, sĂ©paration, burn-out, trauma.

Mais il y a aussi des appels plus subtils :

  • Le besoin de faire le point, de relire son histoire.
  • Le dĂ©sir de changer de trajectoire, de se rĂ©inventer.
  • L’envie de se reconnecter Ă  ses valeurs, Ă  ce qui compte vraiment.

đź§­ Ce que la consultation permet

Consulter, ce n’est pas juste parler. C’est entrer dans un espace sécurisé, où la parole peut se déplier sans jugement. C’est rencontrer un·e professionnel·le formé·e à écouter, à accompagner, à soutenir les processus de transformation.

C’est aussi :

  • Mettre en mots ce qui fait mal, ce qui fait peur, ce qui jusque lĂ  fait silence.
  • Explorer des pistes de comprĂ©hension, des liens entre passĂ© et prĂ©sent.
  • Retrouver du pouvoir d’agir, mĂŞme dans la vulnĂ©rabilitĂ©.
  • S’autoriser Ă  ĂŞtre accompagné·e, sans devoir tout porter seul·e.

🔍 Une approche engagée

Dans ma pratique, j’articule plusieurs méthodes :

  • L’ACT (ThĂ©rapie d’Acceptation et d’Engagement), qui aide Ă  vivre avec ce qui ne peut ĂŞtre changĂ©, tout en s’engageant vers ce qui compte.
  • Le rĂ©cit de vie, qui permet de relire son histoire, de repĂ©rer les ruptures, les ressources, les possibles.
  • Une posture clinique ouverte, bienveillante, mais exigeante, qui invite Ă  penser, Ă  ressentir, Ă  transformer.

✨ Et si c’était maintenant ?

Il n’y a pas de seuil universel. Il y a ton seuil à toi, celui où tu sens que tu ne veux plus continuer comme avant. Il y a le moment où tu choisis de prendre soin de toi, autrement.

Consulter un·e psychologue, c’est un acte de courage. Et je suis là pour t’accompagner.

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Cette publication a un commentaire

  1. Denis

    Très juste.Se faire accompagner est un indicateur de bonne santé…et non l’inverse comme la pensée populaire le véhicule.

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